Témoignage de José (merci bcp!)

Publié le 29 Juin 2011

Mon histoire
José_BR
Certains m'ont aidé, d'autres ont été instrumentalisés.

Le mariage a eu lieu en octobre 1979, en 1987 ma femme a dévoilé devant les enfants sa motivation majeure lors du mariage. En rentrant du travail vers 19 :00 heures alors que j’avais terminé de construire la maison et les aménagements extérieures elle m’a dit « Fou le camp, on a plus besoin de toi ici. Tu me verseras une prestation compensatoire, la pension alimentaire pour les enfants. Quant à la maison, elle m’appartient, car j’ai organisé dès le départ les remboursements depuis mon compte qui est exclusivement alimenté par mon salaire ».
Après quelques jours je lui ai répondu que ça ne marche pas comme ça, elle m’a répondu « Une de mes collègues de travail l’a bien fait ». Heureusement qu’il s’est avéré que, contrairement à sa collègue, notre contrat de mariage était sous le régime de la communauté des biens et non en séparation des biens. Puis, j’ai aussi trouvé un compte caché qui avait pour objet de détourner les revenus de la communauté des biens afin de pouvoir le soustraire à l’inventaire du divorce qu’elle avait annoncé. Maintenant que cette cruelle manœuvre m’a été dévoilée avec pour seule satisfaction qu’elle n’ait pas pu aboutir, mes sentiments les plus intimes ont été ouvertement trahis, mon désir le plus important de vivre une famille sereine, autre que celle de mes parents (explicité plus loin) est devenu un casse tête chinois.
Ceci m’a profondément blessé et j’ai dès lors fait des dépressions consécutives pour avoir été manipulé de la sorte. Je me suis forcé à maintenir la vie de famille pour le bien de mes enfants. Car l’usage sociétal d’alors était de confier les enfants à la mère. Or elle a pour caractéristique d’user de violences verbales très toxiques « je vais te claquer la tête contre les murs » « je n’en ai rien à foutre, mes parents m’en faisaient autant et je vie encore » à l’encontre des enfants. Comme il me fallait bien ‘’vivre avec’’ j’ai cherché à comprendre, rechercher les causes, trouver les moyens d’améliorer. J’ai bien lu une vingtaine de livres sur ces thèmes et me suis fais assister par un psychologue. J’ai identifié les causes dans son enfance tant pour la tromperie au mariage que pour son comportement toxique. Elle refusait de lire le moindre livre sur l’éducation des enfants, sur la connaissance de soi et la vie d e couple. J’ai alors tenté de partager avec elle les pourquoi et comment. Mais, elle répondait allègrement « Je suis comme je suis, tu n’avais qu’à en choisir une autre », puis « Tu n’est pas mon psy ». Évidemment, c’est insuffler le désespoir au conjoint.
Je me suis alors questionné pourquoi ?
Pourquoi, je n’ai pas été en mesure de repérer qu’elle ne m’aimait pas vraiment, et qu’elle avait un caractère toxique. Pour synthétiser, « ma mère était parfaite » et mon père « violent, toxique ». Il suffisait donc que l’homme soit bien, et ainsi la vie du couple et des enfants sera bien. Soit un manque de vigilance au point que, par exemple avant le mariage, quand elle m’a giflé lors de sa conduite en voiture en réponse à ma remarque « ne saccade pas le volant pendant les virages, ça pourrait entraînera une sortie de route lors d’une forte pluie ou neige » j’ai tout intériorisé, sans même répondre, et sans remarquer qu’elle serait même étanche aux recommandations pour sa propre sécurité et/ou celle des autres.
Mais j’ai aussi découvert que les incantations en plus de 200 exemplaires de ma mère « si tu deviens comme ton père, je te tue » m’ont conditionné à ne pas être homme, à ne pas répondre aux gens toxiques via « Mes enfants, ne lui répondez jamais, il pourrait vous tuer » lors des violences plus que mensuelles du père durant 20 ans. Mon père avait des accès de violence mensuels qui avaient les variantes : Renverser la table lors du dîner, renverser le vaisselier, défoncer la porte à la hache, poursuivre sa femme à la fourche, écraser notre mère avec le tracteur contre le mur, puis reculer encore 2 cm pour être sûr que cela soit assez fort, ..., .... , ....., .....
Ma femme a su exploité ceci via sa toxicité jusqu’à exiger «Verse moi de l’argent sur mon compte, il n’y en a pas assez pour ton cercueil le mois prochain ». Lors d’un malaise du à des palpitations cardiaques, j’ai repris connaissance sans qu’elle ai appelé un médecin. Elle m’a répondu « Tu simules, et puis si tu crèves, je t’ai bien assuré aux ACM ».
Lors d’un congé de Noël 2002, j’ai subi des interdictions de parler aux enfants, destinataires d’insultes, et harcelé par sa liste de travaux, lors des dîners, j’ai déclaré « Puisque je n’ai rien à dire et pour avoir la paix quelques jours, je vais prendre quelques jours de congé tout seul. Je ne sais pas encore où, mais j’ai besoin de prendre du recul et faire le point ». Le troisième jour, j’ai été contacté par la gendarmerie de La W………. « Nous vous avons retrouvé, votre femme est venu nous signaler votre disparition. Etes-vous disposé à rentrer dès ce jour ? ». Ainsi, il m’était obligatoire de supporter ses comportements et paroles toxiques. Se soustraire à son harcèlement était impossible, pour ce elle a initié cette procédure calomnieuse.
Pour se permettre sa tactique initiale, elle s’était assurée que le garçon était un timide et non violent. Puis qu’elle n’avait rien à craindre de son homme pour oser vivre avec et lui infliger des circonstances complémentaires supplémentaires.
Je travaillais 50 à 60 heures par semaines pour échapper aux conditions de vie privées et trouver des satisfactions à des réussites professionnelles. Malheureusement ceci mène au burn-out, car la vie à la maison était tout sauf un havre de paix qui se doit normalement compensatoire et ressourçant. Ceci a impacter le déroulement de carrière de José_BR lors des phases dépressives impliquant un licenciement à deux reprises.
A contrario, une femme non manipulatrice, affectueuse et encourageante aurait pu le laisser poursuivre sa carrière professionnelle avec brio.
La question qui surgissait chez José_BR était souvent « A quoi bon tout ça ? ».
La réponse fût « Je ne peux abandonner mes enfants ».
Puis en 2003, je me suis dit que le divorce sera probablement inévitable.
Toutefois, j’ai demandé que nous suivions une thérapie de couple. Pour autant, il fallait dorénavant que je documente quelques évènements (3 pièces en annexes) en imposant à la suite de faits majeurs un écrit avec ses excuses et engagements d’amélioration de sa part. Il y aura alors un tournant significatif, sinon une séparation sans attendre plus encore.
Madame, était réticente à la thérapie de couple et au bout de 7 séances et 3 évictions intercalées (rendez-vous non honorés) elle s’est refusé à continuer la thérapie de couple en déclarant « J’en ai marre ça retombe sur moi, c’est affligeant, je ne viendrait plus en couple. Mais je te promet en échange d’y aller seule, t’es un chic type ». Puis elle n’y est allée que 2 ou 3 fois, et même s’il y a eu moins de dénigrement à mon encontre, quelques mois après le naturel est revenu au galop.
Lors de l’accord du 22 juillet 2008, en préparation d’un divorce par consentement mutuel madame MAK, a convenu que ses méfaits m’ont été dommageables. Elle a à ce titre approuvé que D… sàrl me soit attribué pour 40.000 €, ainsi que 45.000 € de d’indemnités au titre du préjudice moral. Aujourd’hui, si la deuxième demande en divorce (car la première a échoué en jugement « demande en divorce sans fondement ») a été engagée c’est parce que José_BR n’est plus dupe de ses manières toxiques et qu’elle ne dispose plus des moyens de pression puisque les enfants sont en âges. D’ailleurs les deux filles ont quittés dès que le père était pour la majeure partie en déplacements professionnels en déclarant « c’est invivable avec ma mère, je m’en vais ». Le fils A…-BR a opté pour vivre avec son père.
Quand j’ai voulu fuir mon entourage
_ En trouvant un job à Saint Etienne en 1999, ma harceleuse s’est prostituée afin que je ne la quitte pas et revienne au bercail à Ho….
_ En ouvrant une entreprise à mon compte, ma sœur, jalouse et harceleuse, envoyait à ma secrétaire des histoires de famille. (Son homme Mi….l, afin de la calmer de son comportement revanchard à l’égard des hommes l’a conduit un soir sur l’autoroute à contre sens en direction de Paris à 150 km/h jusqu’à ce qu’elle promette d’arrêter de le harceler et médire). Elle sait que je ne me permettrai pas autant, alors ….
_ Par chance j’ai côtoyé d’autres mondes, notamment professionnels. Ce en France, en Allemagne, en Suisse, au Michigan, en Suède, en Thaïlande. En Thaïlande j’y ai trouvé durant deux ans une ambiance entre salariés et une femme aimable et ++. Mon dernier enfant avait 18 ans, j’ai alors décidé de fuir mon environnement de parents harceleur (à 40 ans ma mère venait encore me gifler pour avoir osé prendre 3 jours de vacance en solo) et ma sœur harceleuse, et ma femme manipulatrice. J’ai signé un compromis de vente avec un acheteur. Ma femme a exigé 30.000 € de compensation pour signer, ma sœur a demandé que je cède ma part de donation préciputaire au titre de la renonciation 924-4. Pour autant le compromis de vente n'a pas été transformé en acte de vente. J’ai été contrait pour des raisons financières de fermer l’activité en Thaïlande avec 33.000 € de dégâts et payer 23.500 € à l’ex acheteur de la maison. Le notaire joue leur j eu et va jusqu’à engager une procédure calomnieuse pour m’intimider et se défaire de celui qui dénoncé ses insuffisances devant le Procureur de la République.
=> Elles ont gardé, rapatrié le souffre douleur José_BR à leur portée pour le harceler. Pendant ce temps elles n’ont pas besoin d’observer la poutre dans leurs yeux.

En conclusion:
Comment contrer ces pervers, à mes 7 ans, à mes 13 ans, à mes 30 ans, à mes 50 ans ?
Personne pour assumer mes 95.000 € de dégâts. (Le piège d’une donation d’un terrain de 11.000 € )
L’audition en garde-à-vue m'affligeant par « Vous avez un problème avec tout le monde »
Des déclarations calomnieuses du notaire et de ma sœur me mènent en HO.

Rédigé par Kilou

Publié dans #Des mots sur des maux, témoignages

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N
<br /> <br /> Je me retrouve de loin dans votre histoire, notamment parce que la personne qui subit tout ça est placée dans le doute en permanence. Doute qui est cultivée par l'ambivalence du comportement du<br /> manipulateur. On ne sait plus si ce qu'on ressent vient de nous ou de l'autre. On se demande si ce qu'on a traversé n'était pas finalement le fruit de notre propre folie. Et bien, j'ai la<br /> réponse: c'est non. NON parce qu'il faut garder en mémoire les faits et non le ressenti. La matérialité des faits parlent bien plus que les mots ou les sentiments. IL faut se rattacher et ça et<br /> avancer<br /> <br /> <br /> <br />
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